- FORET NORD -
Aucune perturbation de la qualité de l’air n’est à signaler, en dehors de la présence de nickel dans les retombées de poussières, bien que ces dernières soient en diminution ces cinq dernières années. Les principales perturbations de la végétation s’expliquent par une légère augmentation du soufre dans la litière et le sol, probablement due à des variations cycliques naturelles plutôt qu’aux émissions de SO2 de l’usine, d’autant qu’aucun symptôme foliaire n’est observé. En ce qui concerne les oiseaux, leurs populations ne montrent aucun signe de perturbation.
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Fait rare qui ne s’était pas produit depuis 2015 en Forêt Nord : un dépassement de la valeur limite en particules fines a été détecté le 11 septembre 2019, conséquence des incendies géants en Australie.
Quels étaient les résultats en [2018] | [2017] | [2016] | [2015] | [2014]
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