- CHAMP PROCHE DE L'EMISSAIRE -
Le bilan chimique est dégradé par la présence de manganèse dont le seuil de 10 μg/L pour la protection des espèces les plus sensibles a été dépassé à trois reprises. La moyenne globale reste cependant sous ce seuil. Par ailleurs, la comparaison aux mesures historiques montre aussi que les quantités de nickel, de chrome, de cobalt et de fer sont en hausse. Trois hypothèses sont soulevées pour expliquer cela : un dysfonctionnement de l’émissaire et de sa capacité à optimiser la dilution de l’effluent ; une modification de la composition des rejets suite à la redirection des effluents provenant de l’aire de stockage des résidus depuis 2017 ; et des conditions météorologiques défavorables à la dilution au moment des prélèvements.
Des fluctuations naturelles seraient, ici aussi, à l’origine de la présence remarquable de matières organiques et de matières en suspension.
Quels étaient les résultats en [2020] | [2017] | [2016] | [2015] | [2014]
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