Les diatomées réagissent essentiellement aux pollutions physiques et chimiques (contamination métallique, pollution organique, etc).
Certaines espèces sensibles aux pollutions sont rapidement affectées par des perturbations du cours d’eau : on peut alors observer des déformations du squelette des individus ou tout simplement leur disparition ! Les diatomées réagissent essentiellement aux pollutions physiques et chimiques (contamination métallique, pollution organique, etc). Elles sont donc susceptibles d’apporter une information complémentaire à ce qui existe déjà en Nouvelle-Calédonie : les indicateurs basés sur les invertébrés (IBS et IBNC) renseignent en effet sur les pollutions physiques et chimiques mais surtout sur les perturbations de l’habitat (comme des travaux qui perturbent l’écoulement ou l’érosion des berges). |
Le développement de l’indicateur « diatomées de Nouvelle-Calédonie » s'est déroulé sur cinq années.
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